Art de la contestation. Graffitis.
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Art de la contestation. Graffitis.
S'il est vrai qu'un petit dessin vaut lui aussi mieux qu'un long discours, que dire alors de ceux qui ornent les vilains murs de nos villes et les rendent supportables.
Levez les yeux, scrutez les recoins, les palissades, les immeubles en attente de démolition : insolents, ironiques, amicaux, agressifs, les pochoirs et autres graffitis vous interpellent.
Auteur????
Miss Tic que j'adore au point d'avoir reçu un livre d'elle d'une amie française.
Levez les yeux, scrutez les recoins, les palissades, les immeubles en attente de démolition : insolents, ironiques, amicaux, agressifs, les pochoirs et autres graffitis vous interpellent.
Auteur????
Miss Tic que j'adore au point d'avoir reçu un livre d'elle d'une amie française.
RE GARDE MOI
Invité- Invité
Re: Art de la contestation. Graffitis.
J'aime beaucoup ce qu'elle écrit aussi.
Miss Tic muses et hommes
.Le Caravage.
Le Caravage--- Judith et Olopherne.
Le Caravage--- Judith et Olopherne.
Invité- Invité
Re: Art de la contestation. Graffitis.
en vrac....
En 1964, changement de décor, sa famille s’installe à la Cité des aviateurs à Orly. En 1966, sa mère, son frère et sa grand-mère meurent dans un accident de voiture ; les séquelles de cette tragédie feront d’elle une gauchère obligée[2]. En 1972, son père décède d’une crise cardiaque ; elle a seize ans. À la fin de ses études secondaires, elle se forme pendant plusieurs années au gré de travaux d’arts appliqués – décor de théâtre[3], maquette, photogravure[4] –, puis part s'installer en Californie au début des années 80.
De retour à Paris, à la suite d’un dépit amoureux, elle décide d’utiliser ce dissentiment comme une pratique artistique, avec le pochoir à la bombe comme technique, et les murs comme support[5]. Bien que n’ayant suivi aucune formation en école d’art, l’aventurière en poésie ne manque pas de prétentions plastiques. Ses autoportraits, encore sommaires, sont rehaussés d’épigrammes à base de jeu de mots, de calembours, qui composent une chronique de son existence.
Pourtant autant, Miss.Tic affirme une déclinaison bien à elle, en jouant sur les stéréotypes de la femme séductrice. Le fétichisme où se croisent la robe fourreau, le décolleté, les porte-jarretelles, les bas, les lanières, le fouet, les gants montants, vient percuter ses épigrammes poétiques. Ce contraste fait imploser l’expression aguicheuse du dessin. Son œuvre provoque un questionnement, foulant aux pieds les archétypes de la femme marchandise[10]. Déjouant la fausse perfection de la publicité et les redondances du slogan, Miss.Tic interpelle, ce qui est l’essence même d’une œuvre. « Les images de femmes que je représente sont issues des magazines féminins, je les détourne. Je développe une certaine image de la femme non pour la promouvoir mais pour la questionner. Je fais une sorte d’inventaire des positions féminines. Quelles postures choisissons-nous dans l’existence ? »
Sources Wikipédia
En 1964, changement de décor, sa famille s’installe à la Cité des aviateurs à Orly. En 1966, sa mère, son frère et sa grand-mère meurent dans un accident de voiture ; les séquelles de cette tragédie feront d’elle une gauchère obligée[2]. En 1972, son père décède d’une crise cardiaque ; elle a seize ans. À la fin de ses études secondaires, elle se forme pendant plusieurs années au gré de travaux d’arts appliqués – décor de théâtre[3], maquette, photogravure[4] –, puis part s'installer en Californie au début des années 80.
De retour à Paris, à la suite d’un dépit amoureux, elle décide d’utiliser ce dissentiment comme une pratique artistique, avec le pochoir à la bombe comme technique, et les murs comme support[5]. Bien que n’ayant suivi aucune formation en école d’art, l’aventurière en poésie ne manque pas de prétentions plastiques. Ses autoportraits, encore sommaires, sont rehaussés d’épigrammes à base de jeu de mots, de calembours, qui composent une chronique de son existence.
Pourtant autant, Miss.Tic affirme une déclinaison bien à elle, en jouant sur les stéréotypes de la femme séductrice. Le fétichisme où se croisent la robe fourreau, le décolleté, les porte-jarretelles, les bas, les lanières, le fouet, les gants montants, vient percuter ses épigrammes poétiques. Ce contraste fait imploser l’expression aguicheuse du dessin. Son œuvre provoque un questionnement, foulant aux pieds les archétypes de la femme marchandise[10]. Déjouant la fausse perfection de la publicité et les redondances du slogan, Miss.Tic interpelle, ce qui est l’essence même d’une œuvre. « Les images de femmes que je représente sont issues des magazines féminins, je les détourne. Je développe une certaine image de la femme non pour la promouvoir mais pour la questionner. Je fais une sorte d’inventaire des positions féminines. Quelles postures choisissons-nous dans l’existence ? »
Sources Wikipédia
Invité- Invité
Re: Art de la contestation. Graffitis.
Très intéressante. Merci Diane...
Danielle- Messages : 12457
Date d'inscription : 27/12/2010
Localisation : Aude
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