Le dernier film visionné a la maison?

[Invité]

J'ai aimé, un peu long par contre, mais c'est très bon, un peu surréaliste. Certaines images sont très très belles et c'est tout a fait plaisant de suivre sa vie ainsi.
C'est comme un conte sur une icône de la chanson française. Les dessins sont magnifiques, et souvent on croit tenir un moment magique et hop... la magie disparaît dans les longueurs.
En général les gens ont détesté la marionnette que moi j'aimais bien.
Les critiques lues étaient très mauvaises mais moi j'ai aimé la lenteur de certaines scènes (pas toutes) et l'image devant moi nous amenant dans le rêve.

A déconseiller aux gens qui détestent les films dont certaines scènes ne finissent plus.


Synopsis : La vie de Gainsbourg, du jeune Lucien Ginsburg dans le Paris occupé des années 1940, jusqu'au poète, compositeur et chanteur célébré dans le monde entier.

[Invité]

Gainsbourg, c'est toute mon adolescence et mes années jeune fille...

Je n'ai pas vu le film, mais s'il passe, je le regarderai...

[Invité]

Un p'tit gout d'été



Loin d'être un chef d'oeuvre,ni même un très bon film mais plaisant.Hélas presque une copie du premier.Le meilleur moment du film la chanson finale.

[Invité]

Le fils de l'épicier.
J'ai beaucoup beaucoup aimé ce petit film simple, dramatique et très joyeux à la fois. Les paysages y sont incroyablement beaux aussi, on respire en regardant le film.

SYNOPSIS

Quand Antoine propose à Claire, sa meilleure et seule amie, de lui prêter de l'argent, il est loin d'imaginer où le mènera sa promesse. Car de l'argent, Antoine n'en a pas. Pour tenir sa parole, il accepte de remplacer son père, épicier ambulant...


Critique:


TT Film d'Eric Guirado (France, 2007). Scénario : E. Guirado et Florence Vignon. 95 mn. Avec Nicolas Cazalé, Clotilde Hesme, Daniel Duval, Jeanne Goupil, Stéphan Guérin Tillié.
Genre : Le Goût des autres.
Antoine (Nicolas Cazalé) est un bougon. ??ça lui écorcherait la gueule de dire « merci », et « bonjour » ne fait pas partie de son vocabulaire. Et pourtant le voilà qui accepte - en l'absence de son père, aussi bourru que lui et hospitalisé à la suite d'une crise cardiaque - de regagner l'épicerie familiale du sud de la France et de conduire le camion itinérant qui ravitaille les habitants des hameaux isolés. S'il accepte le job, c'est surtout pour permettre à Claire (Clotilde Hesme, épatante comme son personnage), aussi lumineuse qu'il est sombre, aussi expansive qu'il est renfermé, de repartir de zéro en préparant son bac à près de 26 ans...
Dans son premier long métrage, Quand tu descendras du ciel, Eric Guirado filmait des miséreux dans le froid du Nord. Ici, il peint des « taiseux » dans les grands espaces du Midi. Antoine refuse tout et tout le monde. Ce père qui, croit-il, le méprise. Ce frère dont il ne mesure même pas la peine. Et aussi ses clients (dont l'indomptable Lucienne, jouée avec pétulance par Liliane Rovère) qui ne lui achètent que deux tomates et un poivron, mais règlent leurs maigres achats avec de gros billets. « La prochaine fois, apportez de la monnaie ! », grince Antoine. « Ah, vous en voulez, des choses ! », murmure une petite vieille, perdue...
Sur ce récit d'apprentissage, Eric Guirado a réalisé un conte moderne. Une de ces histoires que l'on sait irréalistes, mais que l'on espère vraies. Il a le sens de la réplique, de la beauté des lieux et des êtres, dont il cerne la dignité cachée. Il est dans la droite ligne d'un Marcel Pagnol, qui, parce qu'il était le cinéaste « régional » des paysages et des sentiments, atteignait l'universel.
Pierre Murat

[Danielle]

Je l'ai vu au ciné quand il est sorti. Je l'avais trouvé très sympathique, une belle histoire. Une belle région.

[Invité]

Oui et avec le cadeau de mon chum (une télé HD) les images sortent bien. L'autre avait rendu l'âme et comme ns ne regardons pas les mêmes émissions, il m'en fallait une a moi, la sienne avait rendu l'âme avant la mienne, il m'a donc équipée aussi bien que lui.
Évidemment ça n'est pas comme au cinéma...

[Invité]

Microcosmos: Le peuple de l'herbe. 1996
Claude Nuridsany et Marie Pérennou
Voyage sur terre à l'echelle du centimètre. Ses habitants: insectes et autres animaux de l'herbe et de l'eau. Regardez comme si vous-mêmes ne mesuriez que queques centimètres la parade amoureuse des escargots, des coccinnelles ou une mante religieuse solitaire...Grand prix de la commission supérieure technique, Festival de Cannes 1996.

J'étais fascinée, je le suis encore. Plus jamais je ne verrai les insectes de la même façon.
Juste l'orage, la branche ou la feuille qui se renverse au vent avec la petite coccinelle dessus etc.etc. j'étais fascinée du début à la fin.
Les images magnifiques, les paysages magnifiques vu de hauteur de fourmis.
J'ai vu de la poésie pure.

[Invité]

oui, je voulais le voir... il parait que c'est extra-ordinaire ...

mais bon... sont pas toujours tendres les insectes j'ai eu peur d'être obligée de sortir devant les scènes de violence et pis pour les scènes de X, j'ai eu peur de trouver les mâles macho

[Invité]

elle est de retour la zabe enfin !

[Invité]

elle est de retour la zabe enfin !

pourquoi ? passque j'parle de cul ??

c'est des insectes !! obsédée !! y savent pas c'qui font

moi si c'est comme ça qu'on se retrouve au rayon layette

[Invité]

:
moi si c'est comme ça qu'on se retrouve au rayon layette

TOI AUSSI ?

[Invité]

moi si c'est comme ça qu'on se retrouve au rayon layette

TOI AUSSI ?

nan, moi c'est pas possib' ou alors, je serais le deuxième miracle d'immaculée conception

[Invité]

ça serait pas un miracle vue que t'es (innocente)

[Invité]

ça serait pas un miracle vue que t'es (innocente)

voui, t'as raison, ch'uis tinnocente naturellement moa

[Danielle]

Les images magnifiques, les paysages magnifiques vu de hauteur de fourmis.
J'ai vu de la poésie pure

Tu ne l'avais pas encore vu !

Sur grand écran, c'était magique, une remarquable leçon de nature. Les insectes sont dominants sur terre, on les néglige souvent mais ils sont si passionnants à observer.

[BRAHMS92]

moi j'adore , j'ai vue aussi Peuple Migrateur
Génial! Tout simplement

[Danielle]

Le Peuple migrateur magnifique et quelles prouesses de tournage ! Quand il est repassé à la télé, même Rosa a prêté l'oreille, elle croyait que les oiseaux étaient là !

[Invité]

Le peuple migrateur est passé au cinéma il y a quelque temps et grandiose, celui-là je ne l'ai pas manqué. Film superbe superbe d'autant plus qu'ici les oiseaux migrateurs je les vois partir et revenir à chaque année. Les grands voiliers de canards, de grandes bernaches, d'oies blanches etc.etc. Les premiers que je vois au printemps me rendent folle de joie, entendre leur cri, les voir se poser dans les champs pour manger... c'est une joie de tous les instants.

Heureusement pour Microcosmos qui n'était pas venu chez-nous comme moultes grands films, j'ai un grand écran plat et haute définition donc j'ai pu regarder tout bien installée, Caillou qui adore les insectes mais ne sait pas chasser une souris était vraiment très intéressé aussi mais les insectes étaient un peu trop gros pour lui.

C'est un film apaisant, magique.

[Invité]

merci didine pour la photo, la prochaine fois pas une araignée stp , j'en ai une peur bleue

[Danielle]

Hors sujet ciné : C'est surtout ce qu'il ne fallait pas me dire ! C'est beau une araignée, j'en ai plein en photo et je te les montrerai et il y en a pas mal dans la maison aussi, hier une dans ma voiture !

[Invité]

Ici j'ai dû m'habituer, je vis entre marais et fleuve, donc l'humidité est le paradis des araignées. Elles sont si si belles, elles tissent des toiles qui ont inspiré les amérindiens pour faire leurs capteurs de rêves.
Je les regarde travailler avec beaucoup d'admiration. Et j'ai eu très très très rarement dans ma vie une morsure d'araignée, si tu la laisse en paix elle ne te touchera pas.

J'ai protégé il y a deux ans une argiope aurentia contre toute personne qui voulait l'approcher, elle était immense immense. La grosseur de mon pouce, je mettrai des photos en spoiler pour les coeurs sensibles. J'avais peur qu'un "bien pensant" ose la tuer juste parce qu'elle avait beaucoup de pattes, elle était jaune vif et noir... Elle a pondu un méga gros oeuf de bébés qu'elle a bien entourré de je ne sais quel tissage très serré avant de partir pour l'hiver.

[Invité]

Une des remarques de Rock détente:
Podz nous offre encore une fois un film dur, difficile à supporter par moment. Mais même si mon coeur a trouvé ça difficile de regarder ce film, je dois avouer que Podz a réussi son coup encore une fois. Ce film n'est aucunement moralisateur, il ne fait que montrer une réalité qui existe.
10 1/2 est donc un film important qui aborde de manière froide et presque brutale une dure réalité sociale. Bien que le film ne soit pas exempt de défauts, Podz s'acquitte de sa tâche avec justesse, évitant à ce sujet complexe de sombrer dans le misérabilisme.

Ce que j'ai ressenti.
Cet enfant de 10 ans et demi, déjà écoeurré au max de la vie et ses crises étant magistrales laissent les éducateurs pantois, sauf un qui va se battre pour lui faire somatiser son agressivité ailleurs d'une autre façon. Un tel désespoir chez un enfant m'arrachait les larmes et pourtant les films de Podz sont loin de sombrer dans le mélo, bien au contraire, ils sont d'un réalisme a couper le souffle.

Peut-être que ce scénario me coupait le coeur parce que j'ai travaillé déjà en milieu difficile???? Quand un enfant ne sait communiquer que par la violence? Ce film est un électrochoc... les enfants sont sans mots pour décrire leur détresse profonde.

Bref ce film m'a grandement touchée. Je revois la scène ou en isolation il a déchiré tous ses vêtements en lanières grossières, toute cette solitude, toute cette amertume, toute cette douleur. C'est celle-là de scène qui m'a fait pleurer.

[Invité]

La mauvaise éducation
Almodovar


SYNOPSIS
Au début des années 1960, deux garçons, Ignacio et Enrique, découvrent l'amour, le cinéma et la peur dans une école religieuse. Le père Manolo, directeur de l'institution et professeur de littérature, devient leur bourreau psychique et sexuel. Les trois personnages se reverront deux autres fois, à la fin des années 1970 et en 1980. Ignacio, comédien, propose alors un script à Enrique, devenu réalisateur. Bouleversé par le contenu autobiographique du scénario, Enrique est prêt à le produire. Mais Ignacio lui dit-il bien toute la vérité?

Sombre et écorché de la part d'Almodovar que j'adore. Religion et pédophilie en mixture peu réjouissante on s'en doute, ou la séduction est une arme fatale. Le film se passe sur trois décennies alors il faut être attentif. Gael Garcia Bernal, quel bon comédien...

[Invité]

Lance et compte.

(Québec) La télésérie Lance et compte passionne le public québécois depuis plus de 25 ans. Dans l'esprit de ses concepteurs, il était donc dans l'ordre des choses de faire passer ses personnages plus grands que nature au... grand écran.

De la même façon que Grande Ourse, adaptée au cinéma l'an dernier, Lance et compte - Le film plaira d'abord et avant tout aux fans de la télésérie, ancienne et nouvelle. Ceux qui ne savent à peu près rien des personnages risquent de se sentir totalement étrangers à l'intrigue, déclinée ici sous la forme d'une tragédie.

Tout le Québec sait maintenant que le National est frappé par le deuil dans Lance et compte - Le film. Un accident d'autocar, dans le parc des Laurentides, au retour d'une partie hors-concours disputée à Roberval, plongera l'équipe de la capitale dans le désarroi. Les survivants - les gros noms, à une exception près, continuité de la télésérie oblige - tenteront tant bien que mal de panser leurs plaies.

La tâche s'avère colossale pour l'entraîneur et directeur général Marc Gagnon (Marc Messier) qui doit ramer fort pour redonner un semblant d'entrain et de cohésion à un vestiaire transformé en salon funéraire. Les joueurs n'ont plus la tête au hockey. Le jeune capitaine Guy Lambert, le fils de Pierre, trompe son désarroi (et sa blonde) dans les bras d'une étudiante. Les frogs de l'équipe donnent des taloches aux blokes, dans les ruelles de Detroit. Pierre Lambert broie du noir à la maison.

sources:Le Soleil


Je ne commente pas vraiment. C'est un film plus que moyen mais tellement québécois. Et même si je n'ai jamais vraiment suivit Lance et Compte hormis la première saison il y a vraiment longtemps...je me suis prise à souhaiter un but absolument.

[Invité]

LA TÊTE EN FRICHE

Synopsis : C'est l'histoire d'une de ces rencontres improbables qui peut changer le cours d'une vie : la rencontre entre Germain, la cinquantaine, presque analphabète, et Margueritte, une très vieille dame très érudite.Germain mène une vie tranquille entre ses potes, sa copine Annette et sa caravane, installée au fond du jardin de sa mère. Il n'a jamais connu son père, sa mère s'est retrouvée enceinte de lui sans le vouloir et lui fait bien sentir. Et à l'école primaire, il était la tête de turc de son instituteur. Ses copains de bistrot l'aiment bien, mais se moquent souvent de lui.Pourtant Germain, loin d'être un imbécile, est un philosophe candide, un diamant brute dans lequel jamais personne n'a songé à tailler de facettes. Si sa tête est restée en "friche", c'est qu'on ne l'a pas cultivée.Un jour, il va rencontrer Margueritte qui va lui lire à haute voix des extraits de romans. Germain va découvrir la magie des livres, dont il se croyait exclu à jamais. Mais Margueritte perd la vue, et pour l'amour de cette petite grand-mère malicieuse et attentive, il ira jusqu'à se mettre à lire pour elle, à haute voix, lorsqu'elle ne pourra plus le faire.C'est une histoire qui parle de gens simples et vrais, parfois touchants, amusants et souvent très drôles. Une histoire tendre, pleine d'espoir, qui prouve qu'il est toujours possible d'apprendre et jamais trop tard pour être heureux.


Acteurs
Gérard Depardieu
Gisèle Casadesus
Maurane
Claire Maurier
Sophie Guillemin
Patrick Bouchitey
Jean-François Stévenin
François-Xavier Demaison


Réalisateur
Jean Becker


Un film d'amour de tendresse,de douceur.Je ne vois d'autre commentaire à ajouter que j'ai adorer ce film,Et à la fin ne pas omettre d'écouter pendant le généréque.

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