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Trois dollars
Elliot Perlman.

À trente-huit ans, un beau matin, Eddie se retrouve sur un quai de gare avec trois dollars en poche. Et rien d’autre… Pourtant, pense-t-il, il a fait tout ce qu’il fallait. Il a suivi de bonnes études, il a épousé une femme intelligente et sensible, pris un emploi passionnant, contracté un crédit raisonnable pour acheter un pavillon où loger sa famille... Alors comment en est-il arrivé là ? Tout a commencé, se souvient-il, ce jour de ses huit ans, où la jeune fille blonde dont il était amoureux a quitté sa vie parce qu’elle était riche et lui non...
L’histoire d’Eddie est tissée de coïncidences surprenantes, de rencontres tragicomiques, de quiproquos absurdes… qui tous ont un point commun : l’infinie tendresse du héros pour les êtres qui l’entourent. Spirituel, vulnérable et perpétuellement étonné, Eddie a le charme des héros des plus belles comédies américaines à la Capra. Entre rire et larmes, Trois Dollars est le portrait cruel d’un monde où le cours de la Bourse prend le pas sur celui de la vie humaine. Le Melbourne d’Eddie, Elliot Perlman le connaît bien. Lui aussi, comme son héros, s’est retrouvé avec trois dollars en poche, un crédit à payer, une voiture hors d’âge et un bon diplôme universitaire. L’humour et la tendresse sont entre ses mains des armes tranchantes qui lui servent à démonter avec une férocité jubilatoire l’engrenage du rationalisme économique à la Thatcher. Mais il n’en oublie pas l’amour, l’honnêteté et le rêve qui triomphent pour donner un sens à la vie…
Biographie de l'auteur
Elliot Perlman est né en 1964 en Australie. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages dont Trois Dollars, son premier roman, récompensé par le Melbourne Age Book of the Year Award, Ambiguïtés et The Reasons I Won't Be Coming, un recueil de nouvelles qui a reçu le Steele Rudd Award et le Betty Trask Award. Trois Dollars a été adapté au cinéma, en 2005, par Robert Connolly. Elliot Perlman vit aujourd'hui à Melbourne, où il exerce la profession d'avocat.

[Invité]

ça donne envie de le lire..

[Invité]

ben moi la semaine prochaine je suis en vacances donc je vais pouvoir attaquer le 3ème livre de scouby avec M'zelle Ardoise

[Invité]

Quel est le moyen de les commander via le Québec ses livres? Amazon en a??? je ne peux aller sur Amazon fr, mais sur Amazon.ca pour le Canada parce que l'euro nous coûte vraiment cher ici.


Élégie pour un Américain
Siri Hustvedt
Actes Sud

Je ne suis pas capable de le lire... je n'entre pas dans le livre, il ne me passionne pas; je n'arrive pas a embarquer dedans. Je l'ai terminé mais tout juste.

Résumé:
De retour à New York après l'enterrement de leur père, dans le Minnesota, Erik Davidsen, psychiatre divorcé, et sa soeur Inga, veuve dévastée et récente d'un écrivain célèbre, découvrent la lettre qu'une femme a jadis adressée au disparu et par laquelle ils apprennent que leur père aurait naguère été impliqué dans une mort mystérieuse. Dès lors, dans une Amérique toujours traumatisée par les événements du 11 Septembre, survenus quatre ans plus tôt, tous les personnages qui gravitent autour de la famille Davidsen vont, de proche en proche, être amenés à se confronter à la part la plus opaque de leur être.


Bon ben j'en dirai peu, elle sait rendre l'absence tangible, c'est comme un roman a trous... les histoires sont tellement mêlées, le père est ennuyant a la lecture de son journal, on ne sent pas assez le mystère, c'est trop léger et on ne sent pas le sujet. On est dans une saga et on remonte aux ancêtres, mais il n'y a pas d'aboutissement.
J'étais rendue a la page 265 et je n'avais pas encore le goût de continuer. Je l'ai terminé de peine et de misère parce que je ne lâche pas un livre en marche.

Les critiques je crois sont bonnes, c'est peut-être moi qui fait défaut.


Bon j'ai le choix d'une trentaine de livres devant moi... je vais voir ce que je vais prendre, j'en ai deux encore en commande.

[Invité]

pour commander les livres de scouby ?

moi je suis allée sur nos poilus via MP et je lui ai demandé le prix + le port et ensuite je l'ai payé avec paypal et reçu sous 3 jours.

[Invité]

Oki merci. Je ne crois pas retourner là...

[Invité]

moi, je trouve ça super de montrer un livre et de dire qu'on l'a pas aimé ! passeke les livres, on les aime pas tous, et une critique, c'est ça ! on pense du bien OU du mal !! et paf !

[Invité]

attention avec la critique ça peut mériter UN BLÂME

[Invité]

Quand on aura suffisamment de livres, je ferai un post it avec index des livres critiqués ici...

[Danielle]

passeke les livres, on les aime pas tous, et une critique, c'est ça ! on pense du bien OU du mal !! et paf !

Bien dit, c'est pas que les louanges !

Le problème pour moi c'est que si je n'accroche pas dans les 10 premières pages, je laisse tomber, j'ai tellement de choses intéressantes à lire !

Si, Dans le scriptorium m'a profondèment ennuyée, mais comme c'était une amie qui me l'avait offert, j'ai voulu aller au bout !

Je reviens bientôt pour pas laisser Diane seule...

[Invité]

je suis comme toi Dany, un livre qui ne m'intéresse pas, je peux pas le lire. Du coup, j'aime pas ça, je culpabilise... alors je le laisse en plan, mais j'ose pas un prendre un autre, je me dis que je finirai par le lire. C'est comme ça que je peux rester un moment sans lire. Moi, la lecture, c'est en pointillé, je peux lire énormément et tout d'un coup arrêter.

[Invité]

Lorrie Moore
La Passerelle.



Lorrie Moore écrit bien, elle a de nombreuses oeuvres a son actif, écrivaine contemporaine.

Dans son livre elle fait plusieurs clins d'oeil (mais a peine des clins d'oeil) a des gens que j'aime: Sylvia Plath, Otis Redding, Sam Peckinpah, Gertrude Stein... parfois ça devient juste juste un petit peu long, mais elle écrit bien, j'aime son humour aussi. Sauf que vers la fin on fait courir nos yeux d'une page a l'autre tant c'est prenant. Lorrie Moore observe sûrement beaucoup puisqu'elle dépeint ses personnages avec une justesse peu commune.
"tout ceci passait par les regards, si bien que la vérité n'était jamais dite, mais je comprenais ce que c'était d'entrer dans un magasin pour acheter un beignet et de vivre une expérience raciale, sans qu'un seul mot ne soit prononcé" p. 192
"Qu'avais-je appris jusque-là à l'université? Que l'on peut exclure le principe du tiers exclu, mais que lorsqu'on traverse la vie jusqu'à ce lieu où on sera seul a jamais, mais davantage en sécurité, on verra sans doute défiler par la vitre toutes les personnes que l'on a un jour connues" p. 298
C'est presque le parcours initiatique de la jeune fille qui doit se rendre a la vie adulte. C'est une traversée...des étapes...C'est un petit roman frais et spontané qu'on traverse tout d'un bout sans s'arrêter.


Quatrième de couverture (pour mieux vous situer que dans mes élucubrations)

Tassie Keltjin est une vraie «country girl». Élevée dans une ferme du Midwest, elle sait à peine ce qu'est un taxi et n'a jamais franchi les portes d'un restaurant chinois. Lorsqu'elle s'installe en ville pour ses études, elle plonge avec euphorie dans ce tourbillon de nouveautés : le campus, les cinémas, les longues discussions entre amis... Elle a vingt ans et tout à découvrir. Pour arrondir ses fins de mois, elle trouve un emploi de baby-sitter dans une famille atypique. Sarah dirige un restaurant à la mode ; Ed a les cheveux longs, bien qu'il frôle la cinquantaine. Ils ont adopté une petite fille métisse, Mary-Emma. Rapidement, le tableau idyllique se décompose. Le couple est de plus en plus étrange et la couleur de peau de l'enfant confronte chaque jour Tassie au racisme ordinaire. Avec une vivacité d'esprit proche de Grace Paley, Lorrie Moore dresse le portrait d'une jeune femme et de ses grandes espérances. Mais derrière l'ironie qui vise juste, c'est aussi un livre bouleversant sur la fragilité des apparences et sur une Amérique en plein désenchantement.

[Invité]

La chorale des maîtres Boudhers
Louise Erdrich.

Je découvre cet auteur et je suis sous le charme.

Qui est-elle?
Un père allemand, une mère ojibwa: Louise Erdrich est une sorte de Lorelei échappée d'une lointaine réserve du Dakota... C'est là qu'elle a affûté sa plume, avant de devenir - avec Sherman Alexie - la figure la plus emblématique de la jeune littérature indienne d'Amérique. Sa mission? Ravauder la mémoire déchirée de ces communautés qui furent jadis chassées de leur royaume et scalpées par le glaive de la Conquête. Pour l'auteur du Dernier rapport sur les miracles à Little No Horse, l'écriture est donc une catharsis, destinée à rallumer les feux vacillants d'un monde dont les rêves et les mythes risquent de s'éteindre.
source: http://www.lexpress.fr/culture/livre/la-chorale-des-maitres-bouchers_809752.html
Partie du résumé quatrième couverture:
1918. De retour du front, Fidelis Waldvogel, un jeune soldat allemand, tente sa chance en Amérique. Avec pour seul bagage une valise pleine de couteaux et de saucisses, il s'arrête à Argus, dans le Dakota du Nord où, bientôt rejoint par sa femme et son fils, il décide d'ouvrir une boucherie et de fonder une chorale, en souvenir de celle des maîtres bouchers où chantait son père. Des années 1920 aux années 1950, entre l'Europe et l'Amérique, ce roman à la fois épique et intime retrace le destin d'une famille confrontée au tumulte du monde.


J'ai beaucoup aimé, comme j'aime Sherman Alexie ou Garcia Marquez a qui on la compare aussi. C'est mon premier et sûrement non le dernier. Elle sait parler du quotidien comme si on le vivait, avec tellement de réalisme. Il y a une telle richesse dans la description de tous ses personnages (pas d'indiens dans ce livre ne cherchez pas) c'est un roman rempli d'émotions, les gens parlent peu mais s'expriment tout autant autrement. La quotidienneté se déroule sur l'histoire et les conflits mondiaux de cette époque, après la guerre 14/18 jusqu'à la suivante, et cela se termine vers 1950.
C'est tellement bien écrit... je récidiverai.

[Invité]

Tiens celui ci semble intéressant.je note

[Invité]

Renaud je te le prêterai si jamais tu ne trouve pas en bibliothèque. En librairie il est introuvable, pas assez récent et pourtant pas si vieux!!!!!!!!!

[BRAHMS92]

Dans ce livre plein de poésie et de simplicité, Jon Kabat-Zinn nous apprend à nous ouvrir aux sensations,pour mieux nous éveiller à la pleine conscience
c'est un véritable guide du monde sensoriel, un chemin vers notre monde et notre richesse intérieurs
Jon Kabat-Zinn est à la fois l'inventeur et l'artisan d'une méditation accessible à tous

je viens de commencé de le lire, il me parait très intéressant

[Invité]

J'ai été voir qui il était, j'étais intriguée.

Jon Kabat-Zinn, né le 5 juin 1944, est un professeur émérite de médecine. Il a fondé et il dirige la Clinique de Réduction du Stress (Stress Reduction Clinic) et le centre pour la pleine conscience en médecine (Center for Mindfulness in Medicine, Health Care, and Society) de l'université médicale du Massachusetts. Il enseigne la « méditation de la pleine conscience » (mindfulness meditation) comme une technique destinée à aider les gens à surmonter leur stress, leur anxiété, leur douleur et leur maladie. Il est membre du conseil d'administration du Mind and Life Institute, qui a pour but de promouvoir un dialogue entre la science et le bouddhisme.

[Invité]

ben on devrait peut être aller le voir alors

[Invité]

J'adore cette femme et sa façon d'écrire. Elle me rentre dans le coeur. Les silences parlent avec elle.
Ses descriptions de l'endroit sont si "réalistement poétiques" ça donne le goût d'y aller. On sent le vent, on goûte le sel, les fraises, on sent l'absence aussi.
Elle veut "repeindre son mur Vert Hooper" et j'adore ce peintre moi (mais pas ce vert)
J'ai aimé beaucoup cette lecture.


Résumé du livre
La Hague.. Ici on dit que le vent est parfois tellement fort qu'il arrache les ailes des papillons. Sur ce bout du monde en pointe du Cotentin vit une poignée d'hommes. C'est sur cette terre âpre que la narratrice est venue se réfugier depuis l'automne. Employée par le centre ornithologique, elle arpente les landes, observe les falaises et leurs oiseaux migrateurs. La première fois qu'elle voit Lambert, c'est un jour de grande tempête. Sur la plage dévastée, la vieille Nan, que tout le monde craint et dit à moitié folle, croit reconnaître en lui le visage d'un certain Michel. D'autres, au village, ont pour lui des regards étranges. Comme Lili, au comptoir de son bar, ou son père, l'ancien gardien de phare. Une photo disparaît, de vieux jouets réapparaissent. L'histoire de Lambert intrigue la narratrice et l'homme attire. En veut-il à la mer ou bien aux hommes ? Dans les lamentations obsédantes du vent, chacun semble avoir quelque chose à taire.

[Danielle]

C'est génial ton index, tu rajouteras les miens quand j'en aurai, s'il te plait.

Hier soir à La grande librairie, il y avait un de mes auteurs préférés John Irving (je n'ai pas regardé je n'étais pas là, mais c'est enregistré), je viendrai mettre un mot sur son oeuvre et il me tarde de lire son nouveau livre Dernière nuit à Twisted rivière...je les ai tous lus jusqu'à maintenant.

Mes préférés : Une prière pour Owen, Le monde selon Garp...

http://fr.wikipedia.org/wiki/John_Irving

[Invité]

Je les mettrai tous au fur et a mesure des critiques. Promis.

On a les mêmes préférés pour Irving.

[Invité]

moi en ce moment je ne peux pas lire, je ne vois plus rien ! vivement Mars que j'aille chez l'ophtalmo pour changer mes lunettes, j'en peux plus tellement j'ai mal aux yeux.

sur l'ordi ça va j'ai grossi le texte

[Invité]

The Memory Keeper's Daughter
Kim Edwards



Choix totalement subjectif, inspiré de ma vie du moment. Lisez plutôt la description de ce roman trop facile.

1964. Une terrible tempête de neige paralyse le Kentucky. Le docteur David Henry n'a pas le choix : il doit accoucher lui-même sa jeune épouse, Norah. Vient d'abord un magnifique garçon et une petite fille... trisomique.
En un instant, David, persuadé d'agir pour le mieux, va prendre une décision tragique.


Je ne recommande ce livre a personne, trop facile, pas instructif pour deux sous, mais par contre qu'on ne peut lâcher une fois commencé.

[Invité]

Les maux dits...
Parce que la violence les blesse aussi...

Une connaissance de manifestation et de protection animale, Nicole Messier, a créé un refuge pour les animaux des femmes battues.
Parce que souvent ces femmes n'osent pas partir en refuge et laisser leur animal à encore davantage de souffrance.
Dans ce livre, ce sont les animaux sauvés qui se racontent.
C'est parfois très émouvant.

Bouffée d'air pour Animescale, mais les besoins demeurent immenses

Nicole Messier se voit récompensée pour son dévouement à l'égard des femmes victimes de violence et de leurs animaux. Elle a remporté le prix spécial des juges lors du concours «CBC-Champions of change». Cela lui vaut 10 000 $, une somme qui viendra éponger le tiers de la dette contractée depuis l'ouverture du refuge Animescale, en 2008.

Sujets :
CBC , Mission Animescale , Sainte-Julienne

Mme Messier aide les personnes aux prises avec une situation familiale difficile en accueillant leur petit compagnon pendant qu'elles se préparent à un nouveau départ.

Bon an mal an, elle donne le gîte une cinquantaine de chats, de chiens, d'oiseaux. Pour chaque animal hébergé, elle doit investir une centaine de dollars pour les soins vétérinaires.

«La première année a été celle qui a coûté le plus cher, car j'ai dû acquérir le refuge et les équipements. J'ai investi environ 20 000 $. L'an passé, les frais finaux ont atteint les 8 000 $ et, cette année, je fonctionne avec 5 000 $ dans le rouge», mentionne-t-elle.

Les 10 000 $ gagnés via le concours CBC lui donnent espoir, mais ne lui permettent pas de sortir la tête hors de l'eau.

Mme Messier a donc entrepris d'écrire et de publier un livre, le premier d'une série de trois, relatant le vécu des femmes et des enfants dans un contexte de violence domestique.

* «Les Maux dits» est le premier livre publié par Mme Messier.Photo Gracieuseté
*

«Les situations sont racontées à travers les "maux" des animaux qui en sont à la fois témoins et victimes», explique-t-elle.

Par la vente de ces ouvrages, elle espère recueillir des fonds supplémentaires pour la Mission Animescale.

Elle souhaite également financer un agrandissement du refuge, situé à la limite de Sainte-Julienne et de Saint-Esprit.

«Il faut que je vende 8 333 livres [le profit est de trois dollars par bouquin] pour tripler ma capacité d'accueil et accueillir 150 animaux», dit-elle.

Nicole Messier reçoit de plus en plus d'appels, mais l'espace dont elle dispose demeure limité.

«J'en refuse une centaine chaque année. C'est déchirant, car toutes ces familles ont besoin du service.»

Pour des informations: www.animescale.com

[Invité]

Je vais acheter son livre,en premier pour l'aider et aussi le lire.Elle est tout près d'ici 25 kilométres au plus.Tout de même curieux que je doive paser par la France pour entendre parler d'une personne que j'ai surement croisée dans la ville que j'habite.

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